Guitariste autodidacte à l’âge de 14 ans, il joue dans différents groupes de rock, jazz, musique du monde puis après des études aux beaux-arts, à la MIM (spectacle vivant) et à Jazz Action Valence, l’école du voyage (Inde, Andalousie, Grèce, Turquie) l’a amené vers de nouveaux horizons ainsi qu’à rechercher «ses racines» musicales.
Il a trouvé dans le Oud le lien parfait entre son attrait pour «l’Orient» et ses origines "Méditerranéennes" qui vont de Naples à la Kabylie.
Il a eu la chance d’être l’élève du maître de Oud Palestinien Adel Salameh. Il à également étudié avec divers maîtres de la tradition méditérranéennes notamment grecque et turque : Nikolas Palaiologos, Kivanç Gülmez, Ross Daly...
Après être rentrer en tant qu'élève au conservatoire de Montpellier dans la classe de l'égyptien d'Ihab Radwan, il est devenu professeur à ses côtés pendant deux ans.
Raphaël Benyoucef est multi-instrumentiste (oud, bouzouki, guitare fretless, flûte traversière...) et compositeur. Il joue et à jouer dans différents projets, allant de la musique traditionnelle avec Vojao (musique de la Méditerranée Orientale) Dervisaki (musique grecque, rebetiko) à des projets jazz-oriental (Hartani, Douar trio), ainsi qu'à l'accompagnement de conte de la méditerranée notemment de traditions arabe comme les 1001 nuits (kamel guenoun, Samuel Lares, Aini Iften, Pascal Quéré..)
Il à également joué ou croisé la route de musiciens classiques indiens dans le projet Ragam, des marocain du groupe Desert Blues Daara Tribes.
Il a été samplé par Serge Bulat, artiste new-yorkais de musique électronique vainqueur du 15th Independant Music Awards.
Il travail depuis peu pour le cinéma, sur le film de l'Américain Gabriel Xavier Bly-wolf "Flying Fish", et sur le documentaire "Un père un fills et Sankara" du Berlinois Andreas landeck, avec notemment la collobaration de son frère rappeur Morgan Benyoucef (Monsieur G).