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Teaser de Hartani, oriental-jazz, 2017
Raphaël Benyoucef : oud et bouzouki,
Pierre Lasssailly : clarinette en sol et clarinette basse,
Joachim B Thönen: contrebasse
Stuart Dickson: percussions digitales.
vidéo kevin inzelrac
Puisant dans la double tradition des modes de l’Orient et de l’écriture occidentale, à la recherche de couleurs et de rythmes sans cesse réinventés, Hartani façonne un rapport singulier au temps, laissant se déployer chaque mélodie dans ses différentes couleurs instrumentales. Telle une oasis pour l’imaginaire...
Douar Trio
Concert enregistré le 23 juin 2023 et transmis en direct du Festival des 5 Continents, par la radio television suisse.
Dans le sillage des musiques dʹAnouar Brahem, henri Texier ou Avishai Cohen, le répertoire de cet ensemble relève clairement dʹun jazz oriental et modal, dans une démarche acoustique librement inspirée par les rythmes et les modes du Maghreb et du Proche-Orient, mais aussi de Bretagne. Le nom du trio exprime dʹailleurs parfaitement cette parenté modale : le même mot, " douar ", désigne " le village " en arabe et " la terre " en breton.
Avec Raphaël Benyoucef, oud ; Florent Hermet, contrebasse ; Pierre Lordet, clarinette basse
Teaser du conte musical L’Œuf noir 2017, par Samuel Larès et Raphaël Benyoucef réalisé par Laurent Haubin, regard extérieur : kamel guenoun
Extrait du concert du groupe "A la vuelta", Musiques et chants Séfarades
donné le 11 août 2017 à l'abbaye de Nant (aveyron)
Corinne Paule :chant
Philippe Henry : violoncelle ,arrangements
Raphael Benyoucef : oud
capatation live le 4 juillet 2019 par Ashmi Reed
Le groupe Ragam est né de la volonté entre Mayukh Gangopadhyay, joueur de Sarod et de Raphaël Benyoucef, de faire se rencontrer la Musique Indienne, et les Musiques du Bassin Méditerranéen.
Mayukh Gangopadhyay : Sarod
Raphaël Benyoucef : Oud
Souvick Datta : Tabla
Darius soltani : Tombak
Buzuq, Bayati Taqsim, peace, salam, shalom. Quelques jours avant son assassinat, Refaat Alareer ( poète palestinien) avait écrit ce poème: « Si je dois mourir, Il faut que tu vives, Pour raconter mon histoire, Pour vendre mes affaires, Acheter un bout de tissu, Et quelques ficelles. (Fais-le blanc et qu’il ait une longue traîne !) Qu’ainsi un enfant, quelque part dans Gaza, Tandis qu’il lèvera les yeux par-dessus le ciel, Attendant son père parti dans un éclat, — Et il n’a dit adieu à personne, Pas même à sa chair, Pas même à lui-même — Puisse voir le cerf-volant, Mon cerf-volant que tu auras fait, Dans la hauteur au-dessus de sa tête, Qu’il pense un instant qu’un ange est là, Venu lui rapporter l’amour. Si je dois mourir, Qu’il en naisse de l’espoir, Qu’il en reste une histoire ».